Cuando era estudiante, recuerdo que cada asignatura empezaba con algún capítulo introductorio dedicado a la historia, fundamentos y justificación de la susodicha. Los preliminares eran a veces tan largos que nos quedábamos por la mitad del temario.
Y yo me preguntaba, ¿y por qué no empezamos al revés? Si queda algo por ver, que sea la introducción, ¿no? Así que al grano. Si no quieres seguir leyendo lo que viene después, en el titulo está el planteamiento y la conclusión: ¡Podemos hacer sin tener ganas! Había que decirlo y queda dicho. Que para ti es obvio, ¡Genial! Si no tienes curiosidad puedes terminar la lectura aquí. Que no lo ves claro, sigamos. ¡Que no me crees! Haces bien. Así que vamos a tu experiencia personal. Repasa todo lo que has hecho desde que ha sonado el despertador esta mañana. ¿Cuántas cosas de las que has hecho tenías ganas de hacer? ¡Qué no te sirve! Vamos a la faena: ¿estás de pie, sentado o acostado? Levántate y vete a la puerta. Sí, no te quedes ahí leyendo. Vete a la puerta y ábrela. Ahora la cierras y vuelves a donde estabas antes. ¿Te sentías motivado, tenías ganas? ¡A que no! Y si cambiamos: “Es que no puedo porque no estoy motivado” por “Es que no lo hago” y punto. El resultado será el mismo pero la diferencia, importante a mi parecer, está en la explicación que nos damos y a qué callejón sin salida nos lleva este “falso amigo”. Esta explicación que nos sirve para quedarnos estancados y sin hacer. Cuando digo “No estoy motivado”, yo y mi contexto, es decir, parientes, amigos y compañeros, cabeceamos comprensivamente con un: “Es normal, si no tienes ganas, como lo vas a hacer”. ¿Hay que estar motivado para hacer lo que tienes, o quieres hacer? Léase: estudiar el examen de mates, hacer la cama, ir a la compra, recoger la ropa, vaciar el lavavajillas, ir a trabajar, recoger a los niños, llevarlos a la piscina, acompañar a mi pareja a la “odiosa” cena de empresa, levantarme del sillón para ir al gimnasio, llamar a los amigos para salir, ir a casa de mis padres a comer los domingos, dejar de fumar, … La respuesta sigue siendo “no”. Evidentemente que el hacer algo debe tener un sentido para nosotros, ya sea lavarse los dientes o llevar a nuestro hijo a un enésimo cumpleaños, cuidar de mi salud o de mis padres… Pero para hacer (aquí copia y pega el párrafo anterior, o añade cualquier cosa que tú quieras hacer, pero no haces porque no estás motivado) hay que mover las manos y los pies. Pero hacer es un verbo de acción, significa saltar a la pista. Darle vueltas a la cabeza esperando el soplo divino, el aura púrpura o la inspiración en forma de tractor con tracción integral que te saque de la ingravidez y te propulse a la acción, equivale a apostar en las carreras al caballo muerto. Que sí, que cuando la ganas se presentan todo parece más fácil. Pero, como dicen que decía Picasso, “La inspiración existe, pero tiene que encontrarte trabajando”. Con la motivación, igual. Y si la motivación te pilla en la cama una mañana de invierno cuando hace frío y llueve, ¿vas a saltar feliz para ponerte las zapatillas y salir a correr? ¿Y si la inspiración aparece cuando estás charlando con tus amigas de lo mal que te va el curso porque “Tía, este año es super difícil y no puedo con la de inglés”, ¿vas pitando para casa para preparar la disertación que tienes que entregar mañana? Así que, si te toca sacar al perro, ir a por el pan, pasar la ITV, planchar una montaña de camisas, aprobar el examen de historia o encerrarte en casa seis días a la semana para sacar la oposición, “La acción es la clave fundamental de cualquier éxito”, sentencia también atribuida a Picasso. Que es duro, que es difícil, que no te gusta, que no le encuentras placer, que estás cansado, que me distraigo con nada… ese es otro cantar. Argumentos no le faltan a nuestra máquina de dar razones, o sea nuestra mente. Dispone de un arsenal inagotable de motivos por los que no hacer. Pero esa es otra canción. Así que, a ver cuándo le doy esquinazo a mi mente y me pongo a hablarte de ella. De cómo funcionan las mentes, la mía, la tuya, la de tu mujer o marido, las de tus hijos, padres, hermanos y amigos… en esas situaciones cuando nos sentimos atascados.
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Il n’est pas forcément nécessaire d’avoir envie de faire les choses pour honorer ses engagements.15/1/2020 Lorsque j’étais étudiante, je me souviens que chaque matière commençait par un chapitre d’introduction consacré à l’histoire, les fondements et la justification de la susmentionnée. Les préliminaires étaient parfois si longs que nous en restions à la moitié du programme.
Et moi, je me demandais: « Et pourquoi nous ne commençons pas à l’envers ? ». S’il doit rester quelque chose à étudier, que ce soit l’introduction, non ? Allons donc à l’essentiel. Si vous n’avez pas envie de continuer à lire la suite, la démarche et la conclusion sont dans le titre: Nous pouvons faire les choses sans en avoir envie! Il fallait le dire et voilà, c’est fait, on l’a dit. Si pour vous c’est évident, super ! Si vous n’êtes pas curieux, vous pouvez terminer votre lecture ici. Si ce n’est pas si clair, et bien, continuons… Vous ne me croyez pas ! Vous avez raison. Nous allons donc partir de votre expérience personnelle. Passez donc en revue tout ce que vous avez fait depuis que votre réveil a sonné ce matin. Combien des choses que vous avez faites aviez-vous réellement envie de faire ? Ce n’est pas suffisant ! Continuons : Êtes-vous debout, assis(e) ou couché(e) ? Levez-vous et allez à la porte. Oui, ne restez pas assis(e) à lire. Allez à la porte et ouvrez-là. Maintenant refermez-là et retournez là où vous étiez avant. Vous vous sentiez motivé(e)? Vous aviez envie de le faire? Non, n’est-ce pas! Et si l’on changeait la formule? : « Je ne peux pas parce que je ne suis pas motivé(e) » par « Je ne le fais pas » et c’est tout. Le résultat sera le même mais, la différence, importante selon moi, se trouve dans l’explication que l’on se donne et vers quelle impasse nous emmène ce « faux ami ». Cette explication qui nous convient pour stagner et ne pas faire. Lorsque je dis : « Je ne suis pas motivé(e) », mon contexte et moi-même, c’est-à-dire, mes parents, amis et collègues, hochent la tête avec compréhension : « C’est normal, si tu n’as pas envie, comment vas-tu le faire ». Faut-il être motivé pour faire ce que vous devez, ou voulez, faire ? À savoir: réviser l’examen de mathématiques, faire le lit, ranger les vêtements, vider le lave-vaisselle, aller travailler, récupérer les enfants, les accompagner à la piscine, participer à l’« odieux » dîner d’entreprise de mon conjoint, me lever du fauteuil pour aller au gymnase, téléphoner aux amis pour sortir, aller déjeuner chez mes parents le dimanche, arrêter de fumer, … La réponse reste la même « non ». Il est évident que lorsque l’on fait quelque chose, cela doit avoir un sens pour nous, que ce soit se brosser les dents ou accompagner notre enfant au énième anniversaire, prendre soin de sa santé ou de ses parents, … Mais, pour faire (copiez-collez ici le paragraphe antérieur, ou ajoutez tout ce que vous souhaitez faire, mais que vous ne faites pas parce que vous n’êtes pas motivé) il faut bouger les mains et les pieds. Mais, faire est un verbe d’action, qui signifie s’élancer sur la piste. Se prendre la tête en attendant le souffle divin, l’aura pourpre ou l’inspiration sous forme de tracteur ayant une transmission intégrale qui puisse vous sortir de l’impesanteur et vous propulser dans l’action, équivaut à parier aux courses sur le cheval non partant. Évidemment, lorsque l’envie est présente, tout semble plus facile. Mais, comme le disait si bien Picasso, « L’inspiration existe, mais elle doit te trouver au travail ». Il en est de même pour la motivation. Et si, un jour, la motivation vous prend au lit, un matin d’hiver, lorsqu’il fait froid et qu’il pleut, allez-vous sortir de votre lit heureux pour enfiler vos chaussures de sport et aller courir ? Et si l’inspiration surgit lorsque vous êtes en train de raconter à vos amies à quel point votre année scolaire est mauvaise parce que « cette année est super difficile et je ne supporte pas celle d’anglais », rentrez-vous en courant chez vous pour préparer la dissertation qui est à rendre pour demain ? Alors, si c’est à vous de sortir le chien, d’aller acheter la baguette, d’aller passer l’inspection technique de la voiture, de repasser une montagne de chemises, de réussir l’examen d’histoire ou de vous cloîtrer six jours sur sept à la maison pour être admis(e) au concours que vous préparez, « L’action est la clé fondamentale de tout succès », sentence attribuée, elle aussi, à Picasso. Parce que c’est difficile, vous n’aimez pas, vous n’y prenez pas de plaisir, vous êtes fatigué, un rien vous distrait, … c’est une autre histoire. Les arguments ne manquent pas à notre machine « à donner des bonnes raisons », c’est-à-dire, notre esprit. Il dispose d’un arsenal inépuisable de motifs pour ne pas faire… Mais, il s’agit là encore d’une autre histoire… Alors, voyons si je peux esquiver un jour mon esprit pour pouvoir vous en parler. Comment fonctionne notre cerveau, les pensées, les miennes, les vôtres, celles de votre épouse ou de votre époux, celles de vos enfants, parents, frères et sœurs, amis, …. lors de ces situations dans lesquelles nous nous retrouvons bloqués. |